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Les yeux de tous espèrent en toi, Et tu leur donnes la nourriture en son temps.

Blue Cat'eyes (1)

Montréal en lumière: festival rassembleur, familial et éclectique

Festival Montréal en Lumière (1)

Qu’ont en commun le Festival international de jazz de Montréal, le Carnaval de Québec, Juste pour rire, le Bal de neige, Nuits d’Afrique, Montréal complètement cirque et le Festival international de littérature? Un créneau (jazz, carnaval, musique africaine, rire, cirque, neige, littérature) qui définit d’emblée son genre ou sa spécificité.

Montréal en lumière? C’était un peu flou, il faut l’admettre. Mais à l’aube de sa 14e édition, le festival montréalais est non seulement devenu un incontournable, il est peut-être le plus rassembleur et éclectique de la métropole québécoise. Analyse d’un succès de longue haleine.Festival Montréal en Lumière (2)

En voulant présenter un événement annuel où musique, chanson, gastronomie, danse, théâtre et activités extérieures se côtoyaient, le festival mis sur pied par l’Équipe Spectra était – volontairement – éparpillé dès le départ.

Hormis le volet gastronomique qui fut pratiquement un succès instantané, cela a demandé quelques années au public pour développer une assiduité et trouver ses repères, d’autant plus que le site extérieur a été déplacé plusieurs fois.

En revanche, ce qui avait été parfaitement ciblé, c’était le moment de la tenue du festival : le mois de février. Dans une ville où les festivals estivaux se suivent à un rythme soutenu et se chevauchent parfois, il y avait là un créneau de choix à prendre. On note que l’Igloofest a su faire la même chose que Montréal en lumière (MEL) en s’appropriant le mois de janvier ces dernières années.Festival Montréal en Lumière (2)

La ténacité des organisateurs de MEL a payé et l’arrivée en 2004 de ce qui allait devenir son événement-phare (La nuit blanche) a dynamisé ce festival. Quelle idée, quand même… Passer la nuit debout à voir des spectacles, faire des randonnées culturelles et visiter des musées. Fallait y penser.

La nuit blanche qui aura lieu le samedi 2 mars en sera à sa 10e présentation en 2013. L’an dernier, 300 000 festivaliers y ont participé, ce qui représente le tiers de l’achalandage de Montréal en lumière qui est désormais de 900 000 personnes. Ce nombre n’est inférieur que de 100 000 visiteurs à la moyenne annuelle des FrancoFolies qui avoisine le million de festivaliers.Festival Montréal en Lumière (18)

Le talent local

Avec les années, MEL est devenu un pôle d’attraction pour les artistes locaux. La période comprise entre la mi-février et la mi-avril est propice aux premières et aux lancements, et les artistes ont vu l’avantage de l’encadrement d’un festival. Durant les FrancoFolies, avec plus de 350 spectacles en salles en 10 jours, un artiste est noyé dans la masse.

À Montréal en lumière, qui présente trois fois moins de spectacles par jour qu’aux Francos, la visibilité est donc plus grande. Cette année, Andrea Lindsay et Luc De Larochellière, Karim Ouellet, Jipé Dalpé, Catherine Durand, Fanny Bloom, Moran, Elisapie, Marie-Josée Lord et Dany Placard y feront leur rentrée montréalaise, tandis que Gaële et Anik Jean offriront des spectacles-lancements.

L’événement à ne pas rater est sans conteste le spectacle de Pierre Lapointe, qui livrera une prestation unique pour MEL. Car le spectacle qu’il présentera le 26 février au théâtre Maisonneuve pour la sortie de son nouvel album Punkt, ne sera pas le même que lors de la tournée qui va suivre. Au moment où vous lisez ces lignes, pas moins de 40 artistes et collaborateurs (!) ont répété sur scène avec Lapointe. Ça va faire boum!

Festival Montréal en Lumière (3)

L’absence de contraintes

Mais ce qui fait peut-être bien la force du volet arts et spectacles de Montréal en lumière, c’est son absence de divisions. Au Festival international de jazz de Montréal (FIJM), il n’y a pas de musique francophone – ou si peu – et qu’une poignée d’artistes pop. Aux Francos, on ne chante qu’en français. Mais à MEL, on peut tout faire.

Cette année, par exemple, nous avons droit à Diana Krall, une habituée du FIJM; au Français M, un fidèle des Francos; au pianiste Alain Lefèvre, un abonné des scènes internationales de musique classique; et à The Zombies, ces revenants légendaires des années 1960 que personne n’est habitué à voir nulle part.

Ce qui était un désavantage (éparpillement) quand le festival faisait ses premiers pas et était méconnu est devenu un avantage (diversité) maintenant qu’il est solidement ancré dans les habitudes des Montréalais et des Québécois.Festival Montréal en Lumière (5)

Avec Les muses orphelines, Trad et Marius et Fanny pour le volet théâtre, la gastronomie de Buenos Aires, le tango avec Pista Tango, les projections architecturales dans le Quartier des spectacles, les prestations extérieures (Dumas, Pascale Picard, Boogat) et le retour de la glissoire sur l’esplanade de la Place des Arts, Montréal en lumière ressemble à son volet gastronomique : un festival devenu un immense buffet où tout le monde peut se servir.

Finalement, Vincent Vallières se trompe quand il dit que le deuxième mois de l’année est un « maudit mois malfaisant » dans sa chanson Février. Bien au contraire, février est le mois où l’on s’éclate. Et ça risque de se produire plusieurs fois entre le 21 février et le 2 mars.

BIOGRAPHIE

Voix forte de la chanson québécoise depuis près de quinze ans, Catherine Durand conjugue en français et avec douceur un folk ambiant sur lequel soufflent le vent des routes poussiéreuses d’Amérique, la brise mordante de l’hiver de force, et l’air chargé de promesses des grands espaces.

Avec son étui de guitare débordant de chansons, Catherine signe très tôt un contrat avec la multinationale Warner Music Canada qui l’invite à plonger tête première dans le processus d’enregistrement d’un premier album.

Flou (1)Flou (1998)

et Catherine Durand (2001) Catherine Durand (1)paraissent ainsi à cette enseigne et la placent en tête de file d’une nouvelle génération d’auteurs-compositeurs à garder à l’œil. Quelques-uns des morceaux extraits de ces deux disques, dont « La Lune est au ciel » et « Peu importe », caracolent au sommet des palmarès et témoignent de ses talents inouïs de mélodiste.

C’est avec Diaporama (2005) que Catherine Durand, désormais artisane d’une chanson de proximité, trouve sa voix. L’album, réalisé par Michel Pépin, Jocelyn Tellier et Catherine, sera magnifiquement salué par la critique et nominé à l’ADISQ. Diaporama inscrira dans la carrière de l’artiste l’appel d’une singularité, marquée par la richesse des guitares et ce chant à la fragilité assumée que les mélomanes reçoivent en plein cœur. Diaporama (1)

Les pairs de la musicienne sont nombreux à vouloir appliquer la couleur Catherine Durand sur leur univers. Elle chantera donc avec Kevin Parent, écrira pour Isabelle Boulay, Stéphanie Lapointe, Renée Martel ainsi qu’Annie Blanchard, et collaborera à la création du premier album solo de Marie-Annick Lépine. Elle monte par ailleurs plus de 80 fois sur scène avec ses camarades auteures-compositrices à l’occasion du spectacle Toutes les filles, 80 sauts dans le vide et autant de chances d’aller à la rencontre de l’autre en se mettant à nu. Un album du même nom auquel elle collabore fige dans le temps en 2010 cette rencontre inédite dans l’histoire de la musique au Québec.

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Cœurs migratoires (2008), à l’instar de Diaporama, creuse le sillon de l’intimité et du raffinement. Récompensé au Canadian Folk Music Awards, deux fois nominé au Gala de l’ADISQ, célébré par la presse et étreint par un public fidèle, l’album consolide dix ans de travail passionné. Coeurs Migratoires (2)

Il retient également l’attention de Francis Cabrel qui invite la chanteuse à monter à bord de sa caravane afin d’assurer ses premières parties partout en province. La réunion de ces deux artistes désireux d’aller vers un vaste public sans compromettre l’âme de leur parole ne pourrait davantage tomber sous le sens; Catherine se taille une place dans le cœur de nombreux fans de l’icone française.

Sur l’enveloppant Les murs blancs du Nord, qui paraît à l’automne 2012, Catherine Durand s’entoure d’une équipe toute étoile de musiciens, dont Jocelyn Tellier, Robbie Kuster (Patrick Watson) et François Lafontaine (Karkwa). La jeune auteure-compositrice Salomé Leclerc cosigne avec la chanteuse trois musiques; Dave Richard, quant à lui, signe un texte (« Souvenirs »). En auscultant avec la délicatesse qu’on lui connaît la part des amours envolés qui subsiste à jamais en nous, Catherine nous apprend sur ce disque à apprécier la vitale lumière que reflètent les murs blancs du Nord, d’ordinaire si aveuglante. Les Murs Blancs du Nord (2)

Dans un souci de vérité, toutes les musiques de ce cinquième album ont été enregistrées live, en à peine cinq jours. Les voix ont quant à elles été mises en boîte par la musicienne dans la chaleur de son salon, seule, avec l’occasionnelle complicité d’un verre de rouge. « Tes yeux clairs dans la pénombre / bravent l’océan / par-delà les eaux profondes / là, sur mon île, je t’attends », souffle-t-elle dans « Sur mon île », un des plus prenants morceaux de l’album, avec la conviction que les saisons, aussi éprouvantes soient-elles, finissent toujours par libérer ceux qui s’y croyaient à tout jamais emprisonnés.

Jeune vétérane de la chanson québécoise, Catherine Durand peut à bien des égards être considérée parmi les plus importantes défricheuses ayant pavé la voie à la réjouissante déferlante de jeunes auteures-compositrices folk à la signature singulière observable depuis quelques années au Québec. Pour le dire simplement : elle inspire. CatherineDurand_Photo1

Prix et distinctions

2010

  • Prix de l’Auteure-compositrice-interprète au Festival Pully-Québec, Suisse

2009

  • Nomination au Gala de l’ADISQ dans la catégorie Album de l’année – folk contemporain et Arrangeur de l’année pour l’album Cœurs Migratoires

  • Prix de Musique Folk Canadienne 2009 – Auteur-Compositeur francophone de l’année

2006

  • Nomination au Gala de l’ADISQ dans la catégorie Album de l’année – folk contemporain pour l’album Diaporama

2002

  • Prix de la SOCAN – Chanson québécoise francophone parmi les 10 plus jouée à la radio avec Peu importe

Une chanson chrétienne sur un « beat rap » et sur le thème, je dirais, de la « fin des temps » et l’importance de se repentir et de se tourner vers Jésus-Christ, seul Sauveur des hommes.

Dans l’hebdomadaire « Echos et Vedettes », Lynda Lemay annonce qu’elle est actuellement en instance de divorce.

L’année 2012 aura été fatal à un certains nombres de couples. Après Tom Cruise et Katie Holmes, Jennifer Lopez et Marc Anthony, Katy Perry et Russell Brand, Johnny Depp et Vanessa Paradis ou encore Heidi Klum et Seal, une autre star a décidé de mettre fin à son union. Cette vedette c’est Lynda Lemay. A 46 ans, l’artiste et son époux Michael Weisinger sont actuellement en instance de divorce.Lynda Lemay (1)

Dans la nouvelle édition du magazine Echos et Vedettes, la chanteuse québécoise confie : « Mike et moi, nous avons vécu notre vie personnelle à l’abri du regard du public et, dans ces moments délicats, nous aimerions continuer à la vivre de la même façon ».

Le couple s’était marié en 2007. Lynda Lemay et Michael Weisinger sont les heureux parents d’une fille de 6 ans prénommée Ruby.

via Lynda Lemay divorce | Closermag.

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Je dois adresser de sincères remerciements à la fée des étoiles et la sorcière comme les autres de la musique pop-actuelle-rêvante&révassante!

J’espère de tout mon coeur que l’utilisation de l’image de mon blogue (pour l’instant,j’espère que j’vais pouvoir changer cette image après un certains temps…quelques mois au moins…) ne viole pas ou n’enfreint pas aucune permission ou interdiction et que je puisse simplement utiliser l’image pour toute sa beauté et toute son émotion du moment culturel et créatif et moment de découverte musicale que je vis présentement…avec la musique et l’univers de Jorane,bien sûr,mais aussi à tout ce qui se fait d’intéressant et de passionant sur la scène musicale québécoise et canadienne.